Quelques intérrogations
Le Shiatsu sert à stimuler les défenses naturelles du corps et participe à l’amélioration de l’état de santé. La santé étant définie en ces termes par l’OMS (OrganisationMondiale de la Santé) : La santé est un état de complet bien-être physique, mental et social et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité.
Si de nombreux troubles peuvent-être traités par le Shiatsu, cela ne signifie pas pour autant qu’il y ait toujours guérison, aucune discipline ne peut malheureusement prétendre à cet absolu.
Non ! La médecine allopathique par les moyens dont elle dispose reste un garant pour tous. Le praticien en Shiatsu n’est habilité qu’au diagnostic énergétique et se doit d’inciter son patient à aller consulter un médecin lors de la suspicion d’un état pathologique grave. Néanmoins, le shiatsu reste une aide non négligeable pour renforcer le terrain du patient même lors d’une malade chronique.
Si de nombreux troubles peuvent-être traités par le Shiatsu, cela ne signifie pas pour autant qu’il y ait toujours guérison, aucune discipline ne peut malheureusement prétendre à cet absolu.
Le terme complémentaire semble plus approprié, il évoque un travail de cohésion, dans le même sens, avec des compétences différentes. Un « thérapeute », abordera la problématique du patient sous un autre angle. Alors que le terme alternative sous entend : remplacement. Les disciplines énergétiques ne remplaceront jamais la médecine allopathique sur les pathologies lourdes. C’est le cas dans les pays asiatiques.
Mise à part ce qui est évident (origine asiatique, philosophie, outil thérapeutique…), le « grand » point commun est la perception globale de l’être (corps-esprit).
Mais le praticien de shiatsu n’es pas un médecin acupuncteur (à l’heure actuelle, l’amalgame est fait entre acupuncteur et MTC (médecine traditionnelle chinoise) même si en réalité, cette dernière est beaucoup plus vaste englobant pharmacopée, massage, moxibustion …).
Si les principes énergétiques sont les mêmes, notions de Ki, méridiens, lois, … (pour le shiatsu orientation MTC), en shiatsu, nous travaillons essentiellement sur les syndromes (ensembles de symptomes) des méridiens, le but étant d’équilibrer ces « réseaux » (méridiens réguliers, curieux, tendino-musculaires, distincts ou liaisons, zones du corps sur leur trajet …). L’acupuncture moderne est plutôt basée sur les fonctions des points associés pour régulariser les organes.
Mise à part ce qui est évident (origine asiatique, philosophie, outil thérapeutique…), le « grand » point commun est la perception globale de l’être (corps-esprit).
Mais le praticien de shiatsu n’es pas un médecin acupuncteur (à l’heure actuelle, l’amalgame est fait entre acupuncteur et MTC (médecine traditionnelle chinoise) même si en réalité, cette dernière est beaucoup plus vaste englobant pharmacopée, massage, moxibustion …).
Si les principes énergétiques sont les mêmes, notions de Ki, méridiens, lois, … (pour le shiatsu orientation MTC), en shiatsu, nous travaillons essentiellement sur les syndromes (ensembles de symptomes) des méridiens, le but étant d’équilibrer ces « réseaux » (méridiens réguliers, curieux, tendino-musculaires, distincts ou liaisons, zones du corps sur leur trajet …). L’acupuncture moderne est plutôt basée sur les fonctions des points associés pour régulariser les organes.
Mise à part ce qui est évident (origine asiatique, philosophie, outil thérapeutique…), le « grand » point commun est la perception globale de l’être (corps-esprit).
Mais le praticien de shiatsu n’es pas un médecin acupuncteur (à l’heure actuelle, l’amalgame est fait entre acupuncteur et MTC (médecine traditionnelle chinoise) même si en réalité, cette dernière est beaucoup plus vaste englobant pharmacopée, massage, moxibustion …).
Si les principes énergétiques sont les mêmes, notions de Ki, méridiens, lois, … (pour le shiatsu orientation MTC), en shiatsu, nous travaillons essentiellement sur les syndromes (ensembles de symptomes) des méridiens, le but étant d’équilibrer ces « réseaux » (méridiens réguliers, curieux, tendino-musculaires, distincts ou liaisons, zones du corps sur leur trajet …). L’acupuncture moderne est plutôt basée sur les fonctions des points associés pour régulariser les organes.
Tout d’abord le shiatsu n’est pas une médecine, les praticiens en shiatsu ne font pas de diagnostics médicaux, ils ne guérissent pas. La pratique du shiatsu n’est pas un acte médical en France, mais une discipline énergétique. Le shiatsu peut vous aider à combattre la maladie dans la mesure où il optimise les capacités du corps à se défendre en stimulant ses défenses naturelles. De plus, le shiatsu favorise les liens qui existent entre le corps et l’esprit, et le fait d’avoir une démarche active et positive ne peut être qu’extrêmement bénéfique pour vous accompagner sur le chemin de la guérison.
En aucun cas, il ne remplacera le chirurgien, le médecin, le psychiatre…
Le praticien en shiatsu compétent se doit de connaître ses limites et doit orienter son patient vers une autre thérapie si nécessaire.
Oui mais ces effets sont bien vite oubliés par rapport aux bienfaits que le shiatsu procure. Comme toute « thérapie » active, le patient peut éprouver une fatigue sereine après la séance et le jour suivant, il peut même avoir une aggravation passagère des symptômes dans les heures qui suivent la séance en raison de la stimulation des capillaires sur les zones traitées (une absence de réactions ne signifie pas que le traitement est inopérant).
Les deux aspects sont gérés par le shiatsu, cependant, le shiatsu est avant tout une discipline énergétique préventive (dans la philosophie asiatique, éviter de tomber malade est préférable à se soigner lorsqu’on est malade). L’idéal étant de recevoir un shiatsu lors des grands changements climatiques (fin de l’été et fin de l’hiver) ou lorsque votre vie est « bousculée » par un événement (deuil, changement ou perte de travail, déménagement …).
Il va de soit qu’un traitement préventif est beaucoup plus court qu’un traitement curatif surtout s’il y a chronicité.
Lorsqu’il y a maladie chronique, il y a inévitablement détérioration du terrain vital de la personne. Le shiatsu est une aide efficace pour renforcer ce terrain et par sa vision holistique de l’être, même s’il est plus difficile de guérir une affection très ancienne, il va traiter la « racine » du mal pour en soulager les symptômes ou retarder l’évolution du dysfonctionnement.
Non, le shiatsu n’est pas une idéologie, le praticien n’est pas un « gourou ». Il est par contre nécessaire qu’un climat de confiance s’instaure entre le patient et le praticien (le patient doit toutefois conserver son esprit critique), et il est aussi nécessaire que le patient suive les conseils (non draconiens) d’hygiène de vie donnés par le praticien.
En shiatsu il n’y a pas de dissociation entre le corps et l’esprit puisque (comme en MTC) chaque organe gère le psychisme et le psychisme gère le comportement organique. Une douleur chronique peut mener à la dépression, le stress peut donner par exemple des ulcères d’estomac. Le shiatsu traite le patient dans son ensemble.
Le shiatsu traitant le patient dans sa totalité en stimulant son énergie vitale, il peut être donné pour pratiquement toutes les affections (sauf contre-indications).
Cependant l’insomnie, les céphalées, les migraines, les douleurs articulaires, le stress, la fatigue physique et intellectuelle, les troubles musculo-squelettiques (mal de dos, épaule et nuque raide, …), la fibromyalgie, sont les terrains de prédilections du shiatsu.
Oui. Le stress est une manifestation d’un déséquilibre neuro-hormonal. Le shiatsu par son intervention peut équilibrer le système nerveux sympathique et parasympathique et normaliser (c’est-à-dire inhiber ou stimuler) les chaînes hormonales. Dès lors, les situations d’angoisse, de panique, d’agressivité et/ou de dépression (légère), par exemple, s’en trouveront améliorées voire même supprimées car le corps du patient deviendra apte à absorber et à gérer cet état.
Chacune de ces disciplines possède sa spécificité. C’est au patient de ressentir la méthode qui lui apporte un mieux-être.
Un art parce que le praticien en shiatsu devra écouter avec ses mains toutes les réponses aux tests réflexes. Il devra interpréter les tensions avant de les harmoniser. Il y a une grande part d’intuition et d’expérience dans la pratique du shiatsu. C’est pour cela aussi qu’il faut être vigilant quant au choix de son praticien en shiatsu.
Tout d’abord, compte tenu de la loi du 30.04.1946, décret 60669 de l’article l.489 et de l’arrêté du 8.10.1996, il est utile de rappeler que pour le shiatsu, il ne s’agit nullement de soins médicaux ou de kinésithérapie.
La kinésithérapie utilise des techniques visant à soulager une douleur ou améliorer une fonction, c’est un traitement d’effet. Le shiatsu a une vision globale du corps, de ses blocages et de ses déséquilibres. En ce sens le shiatsu est plus « proche » de l’ostéopathie.